Manifeste du 13 octobre 2021
14 mai 2021, injection ogm letale
Il n'y a jamais eu d'autorité sanitaire. La société est volontairement surmédicalisée et les moutons sont donc hypocondriaques. Je me fous de la santé mais m'inquiète de la corruption et des meurtres, des armes et des criminels qui les utilisent. à commencer par ceux qui obéissent et ils sont nombreux, très nombreux.
https://rumble.com/vh6lnz-holocauste-acte-six-du-credit-social.html
...conjurer l'absurdité d'un paradigme ou laisser des institutions corrompues aux mains de sociopathes?
Actualisé le 23 juin 2021:
On ne peux pas opposer des mensonges aux mensonges. La réalité c'est que l'#ONU a instrumentalisé depuis des décennies la #Chine contre les Etats-Unis et que l'#InjectionOGMConnecticLetale est une arme biologique est rien d'autre. .Je pense que ceux qu'on prend pour les bourreaux des peuples sont eux-même des otages que seul un peuple de souverains peut libérer.
(9x5)² ou (1+2+3+4+5+6+7+8+9)² = 2025
#Synthesis
Voilà, c'est fini. Pour le mieux,la bête immonde recule d'un pas et la porte sombre n'est plus qu'à peine entrouverte. Le carnaval a repris. Au gré des émeutes le masque absurde fera jurisprudence et le vieux cadavre mal enterré du racisme refait surface pour la bonne cause comme l'avait fait le féminisme. Il a rejoint l'histoire, dédouanant quelques tristes sires de leur corruption affligeante aux yeux voilés des masses informes et enchainées. Leurs noires auras se feront discrètes sur les obscurs chemins du carrierisme. Comme d'habitude. Et comme d'habitude, on avalera les couleuvres, Les génocides à peine avortés, les coups de forces toujours enracinés, la poigne ferme et visqueuse dans la terreur rampante toujours prète à frapper, la vérité dissimulée, brandi comme le 11/9 le caducé règne désormais sans partage. Honte à vous de ne pas l'avoir dite, de ne l'avoir clamée et, pire encore, de ne l'avoir réclamée! car le monde vient de gober le plus gros bobard de son histoire et les humains devront toujours se battre, se contentant de leurs pitences, courbant l'échine dans l'ignorance. La porte des ténèbre se rouvrira sans cesse, je vous le dis, jusqu'à la fin! et vous, les subjuqués, enracinés dans les traquenards, les yeux écarquillés rivés sur l'embrasure guettant les successives illusions de sa lanterne magique applaudirez bouches bées aux pseudos détracteurs du déni, révisionistes blottis dans leur univers stérile, tapis dans l'ombre. Ecoute-moi bien, toi qui ne vois rien, ils nous attendent et nous tueront, tous. Il n'y a qu'un seul virus qui vaille, c'est toi et c'est ce que tu veux, tu mens comme tu respires. Pour le pire.
Laurent Aubin, le 5 juin 2020
28 octobre 2020
Nous sommes en face d'un phénomène disons d'ordre quantique un tantinet extraordinaire. Lorsque le putsch s'est fait savoir à la mi-mars, j'ai cru un moment à une illusion, quelque chose d'irréel. Une faille spatio-temporelle c'était certainement ouverte quelque part de laquelle resurgissaient de vieux démons.... et puis non, finalement j'ai vite compris qu'il s'agissait du même merdier qu'il fallait nettoyer... ou pas. On mettait, à l'heure de son extinction, les derniers restes de l'humanité à mal. Son langage et ses philosophies, son histoire pour commencer, et puis son intelligence et sa capacité à s'épanouir librement. Les nazis, ou pire sont de retour... mais non, ils ont toujours été là, et nous, ceux qu'on nommait autrefois les anges, nous sommes brusquement, non pas réveillés, mais extirpés de notre torpeur. Nous avons réussi. Nous avons aboli le temps. C'est un phénomène qu'il conviendrait de qualifier de quantique dans la mode ou dans le mode novlangue. Nous avons, nous, humains, un choix, un choix ultime. Le premier, c'est de faire comme la plupart, se fourrer la tête dans le sable, ne pas quitter sa petite zone de confort et finir de nous laisser corrompre, résilients, jusqu'à la moelle. Ainsi, finalement, on achèvera les plus âgés, lobotomisera les plus jeunes et robotisera la classe active et citadine. Ainsi nous pratiquerons la sélection naturelle à la Laurent Alexandre et dont même des enfants commencent à se faire chantres en éliminant les plus faibles (en plus de ceux qui savent) et ainsi nous nous contenterons de ce cerveau reptilien qui nous contrit jusqu'à l'étouffement, nous maintient en apnée dans notre matière fécale. Et puis nous retournerons tranquillement,non pas quelques siècles, en bons amish comme le souhaiterait sans doute un Bill Gates et ses amis Buffet ou Bezos ou Arnault, mais plusieurs millénaires, avant l’Iliade... vous souvenez-vous? pardon, je sais, on me qualifie souvent d'artiste d’idiot et de pauvre fou, mais voyez-vous, la bible, je l'ai écrite, comme Léonard le bien nommé, et moi aussi, en bon prophète je l'ai vu ce futur,maintenant, murder. Oui, d'accord me direz-vous peut-être, mais pourquoi es-tu né? pourquoi ton père s'est-il battu? pourquoi ton enfant? et bien il y a un second choix, non de la résilience, c'est celui de la résistance, celui de présumer que peut-être est-ce dans la nature de l'existence de recréer le lien, la relation. Comme un virus trafiqué en labo par la maladroite patte humaine, toute scientiste qu'elle puisse être, comme cet organisme d'une longévité bien supérieure à la notre et dont une quarantaine éparse suffirait de tout temps à nous préserver, le fruit débile d'absurdes expérimentations qui déjà disparaît, rappelé à l'ordre, le vrai, par sa mère,la nôtre; qu'on dit nature. Comme l'objet de la première frayeur de cette masse informe aux cœurs perdus ou corrompus Comme le corps de l'horrible bête qui se profile aujourd'hui, totalitaire, fasciste, et vouée à la mort, peut-être nous reste-t-il ce choix ci, reprendre le fil du temps accepter notre essence éphémère et vivre pour l'autre sans se soucier de soi, de l'argent faux ou d'une reconnaissance quelconque, jouir de ces instants qui passent au péril de sa vie peut-être, mais pour la liberté, l'intégrité de tous, et je veux dire de chacun, au centre de son être et se positionner sans peur d'être juger, dire et même les répéter ces vérités premières que nos institutions s'acharnent à réviser, qu'un gamin tyrannique autant qu'analphabète voudrait tant dénoncer: Et qu'on assume que d'imbéciles barbares formatés aux lobes préfrontaux autant disproportionnés que désertés nous qualifient de complotistes, ou conspirationnistes, qu'on le crie, qu'on le chante, qu'on le martèle, regarde avec tes yeux, écoute avec tes oreilles, pense avec ton cerveau et parle avec ton cœur, s'il t'en reste, car le choix est bergsonien, c'est un élan sans autre alternative: être. Sois et, comme moi, emmerde-les, car toi qui m'a lu jusqu'ici, au moins, tu le sais et l'a peut-être compris, nous sommes aujourd'hui dans la merde. la leur!
Une démarche qu'on pourrait extensivement qualifier d'arithmologique, la symbolique du nombre. Mathématique au sens premier du terme; entre mesure et proportion, entre l'art et la science, un connecteur logique: les chiffres.
Dans une société, un ensemble d'individus, chacun joue un rôle, et en principe à sa guise. Certains prennent le parti de tendre à se fondre dans la masse sans trop prêter d'attention à ce qui jalonne leurs chemins. Plus ou moins. D'autres se bornent à l'évidence de ces jalons. Et d'autres encore s'interrogent sur leur nature. C'est plutôt mon cas.
Désormais, la société humaine s'en remet plus à des systèmes (basiquement un système financier) qu'à des initiatives personnelles. Ce qui l'absout éventuellement de certaines responsabilités, comme l'appropriation du pouvoir, ou plus réductivement, l'appropriation tout court. C'est pour cette raison que perdure cette caste marginale et qui ne figure que comme une case (de) vide sur la majeure partie des formulaires convenus pour parfaire les procédés, et qu'on appelle "artiste".
Positivement, les artistes représentent ce rêve d'indépendance que la plupart se refuse, et c'est d'ailleurs ce qui fait qu'ils existent encore un peu. Péjorativement, les artistes sont des créatifs. Les architectes d'une société qu'ils reflètent et inspirent : quand elle se porte bien, ils foisonnent... négativement, car tout bien pesé, chacun est artiste, s'il l'assume. Et c'est pour cette raison que je suis "artiste peintre". Non pas parce que je me suis toujours demandé à quoi se bornait mon existence, mais plus parce que je suis né avec la volonté de le transmettre. La création est une affaire de langage en quelque sorte.
Essentiellement affaire de transmission et de maturation comme d'impulsion. La nature répond à une logique, celle qui veut par exemple qu'un simple brin d'herbe se caractérise par sa forme dodécagonale et qu'il n'existe aucun pré ne comportant qu'un seul brin d'herbe. Ni qu'aucun pré n'existerait sans herbe, et que si sa forme caractéristique semble l'evider, il n'en est rien car l'essentiel du pâturage s'y trouve contenu. Comme la plante ou comme un oeuf, l'ego cerne l'entité, contient son milieu, quoiqu'elle semble, quoiqu'elle fasse et quelques soient ses attributs: la forme est un outil virtuel, un système essentiel à l'être dont l'expression se différencie et se chiffre.
En quelque sorte, le langage est une affaire de chiffre. De caractère... compter c'est connaître. Et c'est là tout le fond de mon propos. Pourquoi de chiffres? parce qu'ils synthétisent le code de base du langage. Et qu'il s'agisse de comédie, d’écriture, de musique ou de peinture, tout est affaire de proportion. Celui qui comprend la nature de l'existence est immortel. Il ne s'imprègne pas d'une toute puissance universelle, il ne s'approprie rien, mais reconnaît la source de son existence, la vie. C'est très grandiloquent et peut sembler bien creux. Mais celui qui a le bonheur de contempler l'instant en sachant qu'il ne pourra jamais que partiellement le restituer sait de quoi je parle, car il sait quel est son centre, il sait compter. Pas calculer.
En 1794, la révolution a imposé une mesure universelle, un étalon neutre décimale afin d'en unifier plus de six mille différentes. peut-être pas de les éradiquer. Jusque là, la référence dominante, comme celle du mile de 0.54 à 0.621 km, tournait autour du nombre d'or (par son inverse), On a tenté l'approche la plus précise (la plus carrée) en évinçant la plus juste, et par ailleurs un pont entre numération et énumération,
S'en remettre à un système, c'est savoir se reposer sur des calculs. Les maths n'ont pas plus valeur de religion qu'autre chose, mais aussi juste et précis soit un calcul, il ne s'inscrit que dans sa justesse. Celle-ci appartient au vivant, pas à l'abstraction. Le vivant n'absorbe que le vivant. Parmi la multitude de vecteurs qui tissent cette existence, certains ont valeurs d'armatures universelles, et comme tout bon calcul, elles sont immuables mais éphémères, et, telles que les remous d'une rivière, récurrentes, voire constantes. Comme ces chiffres auxquels se réfèrent inexorablement des maths "modernes" qui les trahissent souvent. L'arithmologie ne se conçoit pas sans arithmétique, ni l'arithmétique sans géométrie. Le contour formalise l'essentiel, sa substance, pour le différencier. Aussi abstraits soient-ils, un carré demeure un carré et un cercle un cercle, un 2 un deux et un trois un 3. Comme une monnaie ne peut exclure l'échange ou l'ombre la lumière, un véritable système de mesure ne peut effacer les autres. Unité et pluralité sont indissociables, un artiste demeure un créatif, et un galeriste un marketeur. Si l'un peu souvent jouer le rôle de l'autre, chacun assume sa fonction afin de travailler ensemble. C'est comme ça, et c'est ici que s'arrête la mienne... transversale
Le penseur
23²
nucléosome
christos
décaoctaèdre occupé
la route de Babylone
2015
effet lotus
huiles sur toile 90x130 canevas de 9/14 Tore énéaèdrique par intersection de deux heptaèdres. Les graines de la plante sont fréquemment groupées par dix, limite illusoire du plan. Le lotus forme des couronnes de 28 pétales, dont la couleur est une fréquence harmonique de celle du la. Ses feuilles, énéaèdriques et dont la couleur s'harmonise ici sur des fréquences comprises entre do dièse et ré se centrent sur leur pétiole selon la proportion d'or. Du nombre d'or à sa racine carrée (9/7) imperméabilité structurellement relative.
concave, convexe
(...) Il s’est écoulé un certain temps depuis que j’ai
écrit les pages qui suivent. Il me semble bon
d’apporter une mise à jour quant à ma façon de
présenter la matière qui m’occupe. Même s’il semble
vrai qu’on pourrait la résumer de bien des façons
différentes. Comme EP>EM ou (5/6)² approche psi…
en bref que la causativité n’est pas proportionnelle à la
masse ou la taille d’un élément donné mais son
intégrité…
Arithmos. Ce mot signifie nombre en grec. De
nos jours, on parle de Maths. Les mathématiques sont
un langage, l’étude de la matrice. Il permet de
compter (du latin computare et du mot conter), bien
plus que de calculer : le premier explique ce que
l’autre justifie de peur de comprendre. La matrice est
une fonction, mère. Un langage qui n’est pas
n’importe lequel. Il s’agit du seul et unique langage
universel qui rend compte de la façon dont se
proportionne tout ce qui est. Il est d’ailleurs à la
source de nos alphabets occidentaux. Une affaire
d’expression aussi bien « scientifique »
« qu’artistique". Un ensemble de concepts infiniment
plus puissant que n’importe laquelle des milliers de
langues parlées et écrites par l’être humain et dont la
définition ne peut pas se réduire dans ses termes. Une
étude abordée au cours de la toute petite histoire
humaine connue sous différentes formes, différents
« sous-langages » comme celui des maths
« modernes » (Pascal, Riemann, Euler, Einstein,
etc…) depuis le XVIème siècle, des mathématiciens
indiens, babyloniens, grecs ou du confucianisme par
exemple. Les mathématiques sont ce sur quoi se
centrent toutes les religions et toutes les philosophies
que l’Homme a connu, et auxquelles ont peut ajouter
la tendance scientiste actuelle. Et tout en fait. Bien
qu’on les abordent actuellement sous une forme
stéréotypée tendant à la négation puisqu’on ne
subdivise même plus cette approche en arithmétique,
algèbre et géométrie et qu’on enseigne couramment
aux universitaires d’oublier les nombres et que tout se
base sur le zéro, les mathématiques sont codifiées,
disons de temps immémoriaux , dans les chiffres. Ce
terme vient de l’arabe (étymologiquement et grosso
modo « l’expression ») sifr qui signifie caractère, et a
donné zéro (l’ensemble de ces caractères). Mais les
chiffres, revenus d’Inde, existaient avant. La nature se
proportionne naturellement en six (comme le prisme
des émission magnétiques de la galaxies, le cerveau, le
nucléosome, la palette oculaire etc…) et on a beau
donc remettre perpétuellement en question sa mesure
naturelle, elle est immuable. C’est ce qui explique la
résurgence de ce même langage d’une société à l’autre.
Les chiffres sont des fonctions, vectrices qui
permettent de décrire l’agencement des formes et leur
mesure, à l’infini. Infiniment approchés mais jamais
arrêtés, il déterminent des ensembles et des directions
et sont implacablement relatifs. Ce sont des ratios qui
constituent le langage le plus pur et le plus neutre
possible, le rationnel. Le terme de géométrie dont
l’étymologie est grecque fut transmis par les égyptiens
qui arpentaient à chaque décrue les terres enrichies
d’alluvions du Nil afin de les redistribuer. Chaque
année… Une affaire d’équilibre et de partage. De
mesure entre un ensemble et des éléments. Les
mathématiques sont donc inexorablement libres et
tout être doué d’un cerveau en est dépositaire comme
tout ce qui est. L’existence se proportionne selon un
seul et unique modèle de base qui offre une infinité de
variables mais se relate sur quelques constantes
primordiales. Le savoir est un avantage, c’est aussi un
gage de bonheur. Son lègue le plus précieux, la
compréhension universelle et l’intelligence. Car,
comme entre le cercle et le carré, le mouvement et
l’espace, ou l’espace et le volume, il y a un lien
indestructible entre l’informel et le formel, une
approche tant rationnelle que synthétique de la vie et
de l’ensemble de ses principes qui autorise chacun à
envisager et réaliser en soi ce que l’on appelle la
science commence à peine à entrevoir. Il n’y a qu’un
A.R.N. et il n’y a qu’une existence en partage. Il y a un
jeu de polarité, l’hexagone repose sur trois axes, c’est
la vie. Il y a un jeu différentiel, le cerveau repose sur
trois lobes par deux hémisphères (si l’on fait
exception des lobes temporaux). Le rationnel ne
divise pas, il différencie. Neuf chiffres suffisent à
l’appréhender. Alors pourquoi se voiler la face plutôt
que d’observer et s’offrir la possibilité de le
transmettre ?
Réfléchir à la façon dont se proportionne ce qui
nous entoure, la nature d’un paradigme, n’est pas
abstrait en soi. Ce qui l’est, c’est ce qu’on soustrait à son
observation. (...)